Maryse s’enthousiasme (mais moins que prévu quand même…) au sujet de «
Désorientale » de Negar Djavadi, une auteure d’origine iranienne - [
https://goo.gl/GsiJfS]
Thérèse s’est replongée dans «
Léon Morin, prêtre » de Béatrix Beck - [
https://goo.gl/WvNa6e] et a trouvé le livre plus riche que le film, remake récent.
Thérèse présente «
Infini: histoire d’un moment » de l 'immense écrivain britannique Gabriel Josipovici - [
https://goo.gl/vDkgM4]
Béatrice parle de littérature par la lorgnette du cinéma : «
Silence » de Martin Scorcese d’après le livre éponyme de Shusaku Endo, «
I’m not your Negro » documentaire de Raoul Peck [
https://goo.gl/sk617i] et «
Poesia sin fin » d’Alejandro Jodorowski [
https://goo.gl/EXVA1t]
Maryse invite tout le monde à voir «
Visages Villages » le remarquable dernier film d’Agnès Varda [
https://goo.gl/So1v1L]
Michel continue son exploration de l’annuaire jusqu’à s’interroger sur «
Qu’est-ce qui se passe quand on ne peut nommer ? » et aboutit chez Maître Eckhart [
https://goo.gl/tqBRcy]
Catherine a beaucoup appris de la biographie «
Ma part de Gaulois » de Magyd Cherfi [
https://goo.gl/nDg6V8]
Élodie regrette le côté trop prévisible de «
Un doux pardon » de Lori Nelson Spielman [
https://goo.gl/6X57ss]
Élodie s’est lancée dans la lecture de «
La Trilogie des fourmis » de Bernard Werber [
https://goo.gl/e8dKua]
Nathalie présente «
Un chant céleste », conte chinois drôle mais profond de Yan Lianke [
https://goo.gl/dYkJ11]
Maryse Pons arrive et prend le nom de Maryse II
Pour conclure, Maryse II évoque son coup de cœur récent : «
Les désorientés » d’Amin Maalouf [
https://goo.gl/wxxr66]
Et en conclusion Nathalie rallie tout le monde - ceux qui l’ont lu et les autres - autour de «
Shibumi », le chef d’œuvre de Trevanian [
https://goo.gl/eb9DEh]
Ce sur quoi Catherine rebondit révèlant que la famille de feu Trevanian avait demandé à Don Winslow d’écrire la vie du héros de Shibumi pendant le trou de 10 ans qui n’est pas développé dans le livre. «
La sanction » [
https://goo.gl/Ps2kxx]